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Léonard de Vinci
Léonard de Vinci
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Léonard de Vinci
9 janvier 2008

Le codage des tableaux (2)

2 - La Joconde

  La Joconde fut maintes fois analysée mais recèle malgré tout encore bien des mystères et provoque de nombreuses divergences d’avis. L’un de ces mystères pourrait résider dans la symétrie axiale, dont Léonard de Vinci aurait usé de façon « inverse » : en effet, c’est à celui qui interprète d’user de cette symétrie pour déceler de nouveaux symboles au sein de l’œuvre la plus célèbre du peintre.

  Deux cent ans furent nécessaires à la compréhension de l’étrange écriture de Léonard de Vinci. En effet, celui-ci se basait sur le principe de la Table d’Emeraude : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Ainsi, l’artiste écrivait à l’envers et de droite à gauche, si bien que ses propos ne pouvaient être lus qu’à l’aide d’un miroir. C’est ce même principe du miroir qui inspira l’idée de l’analyse suivante.

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On a retourné le tableau (« Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »)
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Un miroir est placé au milieu du tableau, dédoublant ainsi la partie gauche de celui-ci et devenant axe de symétrie du tableau obtenu.
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On distingue alors clairement Thôt, dieu égyptien à tête de singe. Vénéré comme le dieu de la parole créatrice, il était chargé de l’écriture, de la lecture, des mathématiques et de toutes les occupations ayant trait à la culture.

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La coupe visionnaire formée par le buste et le cou de Mona Lisa est un instrument oraculaire utilisé par la déesse Isis pour prophétiser le jour de la crue du Nil. Une telle coupe peut également contenir du sang divin comme dans le cas du Graal. Elle est le symbole de la royauté.
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En plaçant un miroir le long de l’avant-bras droit de Mona Lisa, les plis de sa manche forment alors un lotus, symbole de l’épanouissement spirituel, de la naissance et des renaissances en Egypte.
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Dans ce lotus apparaît un serpent figurant le principe vital des forces de la nature. C’est un archétype de l’âme humaine : l’âme de l’artiste.

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D
e Vinci aurait donc usé de la symétrie axiale pour dissimuler des symboles de l’Egypte antique dans le doux portrait de Mona Lisa. En effet, le mouvement de l’humanisme, dont Léonard fut un fervent représentant, prône un retour aux sources antiques. Déclarant d’ailleurs dans ses carnets que « ce sont les feuilles de papyrus […] qui perpétuent le souvenir des pensées et des actions humaines », l’artiste aura dissimulé dans son tableau les symboles égyptiens de son système de pensée fondé sur l’épanouissement de l’esprit (de par la multiplication des domaines de réflexions auxquels il s’est essayé).

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